Incendie de Lubrizol : la communication de crise 1 mois après > Nitidis chez BFMTV
1 mois après l’incendie de l’usine Seveso Lubrizol à Rouen, la communication de crise continue à être montrée du doigt. Pour Laurent Vibert, il existe des points de progrès majeurs en matière de communication de crise et de gestion de crise en France, afin d’améliorer sa résilience. C’est un combat que Nitidis et Resiliency mènent depuis de longues années, en proposant une approche différente, notamment sur l’accompagnement et la formation des organisations à la gestion de crise. Comment en effet faire progresser la gestion des événements majeurs en France ? Comment former et mieux préparer les structures privées et publiques ? La catastrophe de Lubrizol est devenu un véritable « marqueur » de crise souligne Laurent Vibert, qui doit permettre de mieux appréhender et optimiser les crises à venir. Cela passe par une préparation des entreprises certes, mais également de tous les acteurs de la chaine des secours y compris la population et les entreprises privées. Il faut également repenser l’organisation pyramidale actuelle au niveau préfectoral de la gestion des crises de grande ampleur et/ou à forte cinétique (inter départementale, frontalière, hors-normes, etc.).
Un extrait d’une interview de Laurent Vibert de l’agence de communication de crise et gestion de crise Nitidis lors de l’incendie de l’usine Lubrizol classée Seveso à Rouen, dans l’émission 7 jours sur BFMTV : La communication de crise de l’incendie de l’usine Seveso Lubrizol à Rouen 1 mois après >